La femme et la mer
Femme libre, toujours tu ressembles à la mer
Amphitrite est ton miroir, elle est ton âme
Sa vengeance est aussi tranchante qu’une lame
Et son esprit, comme la votre est celle d’une mère.
Tu te plais à contempler son parfait image;
Tu l’embrasse du regard fraternellement, et ton cœur
Se trompe parfois de sa propre, mais cupide rumeur
Au bruit de la plainte inapprochable et sauvage…
Vous êtes toutes les deux mystérieux et magnifiques.
Femme, nul n’a sondé le fond dorée de vos abîmes
Ô mer, nul ne connaît la réelle valeur de vos richesses intimes,
Tant vous êtes jalouses de garder tous vos secrets mystiques!
Et cependant, voilà de millénium innombrables
Que vous vous ignorez, et combattez sans pitié, ni remords,
Tellement vous aimez les hommes incapables,
L’une pour l’amour, l’autre pour la mort
Ô rivales éternelles!
Ô sœurs implacables!
Pourquoi cette rivalité au sujet des hommes mortels?
Pourquoi cette dualité depuis le début des temps impitoyables…
Amphitrite est ton miroir, elle est ton âme
Sa vengeance est aussi tranchante qu’une lame
Et son esprit, comme la votre est celle d’une mère.
Tu te plais à contempler son parfait image;
Tu l’embrasse du regard fraternellement, et ton cœur
Se trompe parfois de sa propre, mais cupide rumeur
Au bruit de la plainte inapprochable et sauvage…
Vous êtes toutes les deux mystérieux et magnifiques.
Femme, nul n’a sondé le fond dorée de vos abîmes
Ô mer, nul ne connaît la réelle valeur de vos richesses intimes,
Tant vous êtes jalouses de garder tous vos secrets mystiques!
Et cependant, voilà de millénium innombrables
Que vous vous ignorez, et combattez sans pitié, ni remords,
Tellement vous aimez les hommes incapables,
L’une pour l’amour, l’autre pour la mort
Ô rivales éternelles!
Ô sœurs implacables!
Pourquoi cette rivalité au sujet des hommes mortels?
Pourquoi cette dualité depuis le début des temps impitoyables…