Quand l'orage éclate_chapitre 5_épisode 1
Chapitre cinq:
Malgré la patience dont elle fit preuve, un certain courroux prit place aussi dans le cœur de la belle, elle n’en pouvait plus d’être la victime de tant de méchancetés. Alors, pour oublier le mal que lui faisait sa belle-mère; elle chanta de tout son cœur. Ces chants étaient tellement mélancoliques, que personne ne put les écouter sans qu’une larme apparut sur leur visage, même la triste cantatrice pleurait, mais ses pleurs n’abîmaient en rien ses chants; non, au contraire, ces pleurs rendaient les ballades mélancoliques encore plus vraisemblables…
Belle avait grandi, elle était à présent la plus belle femme de France, et elle savait ce qu’elle voulait faire: devenir cantatrice ou couturière. Elle voulait ainsi échapper à sa lourde condition au château paternel, surtout depuis que sa belle-mère avait envoyé son frère dans une école militaire. Chaque jour le même rituel: sa belle-mère sortait le chat à neuf queues et la fouetta jusqu’au sang afin de la rendre laide, afin de la martyriser.
Malheureusement, le contraire était vrai, à chaque coup de fouet, la Isabelle devenait plus belle. Elle avait de plus en plus de pitié de sa belle-mère et c’est cette pitié qui rendait son âme tellement précieuse et son corps si flatteur. La jeune fille pardonna toutes les violences de la vieille femme qui était aveuglé par la jalousie. En effet Cette belle-mère était prétentieuse, orgueilleuse et vaniteuse; elle était jalouse de Belle qui avait autant de beauté intérieure qu’extérieure et qui était par conséquent mille fois plus belle qu’elle.
Elle n’eut jamais pris la peine de dénoncer les actes de sa belle-mère, mais Beau sentait que quelque chose n’allait pas au château, il envoya donc son ami Carlo voir… Mais quelques jours avant son arrivée au château, sa belle mère ne put plus supporter sa présence dans l’enceinte du château, elle qui avait toléré la fille illégitime de son défunt mari jusque là, ne put plus la supporter à cause de la réalité qui brillait à travers ses chants; Elle ne put supporter de voir la laideur de son âme dévoilée à ce point au grand air par des chants. Bientôt la belle dut quitter le château que son père avait légué à son frère jumeau.
Malgré la patience dont elle fit preuve, un certain courroux prit place aussi dans le cœur de la belle, elle n’en pouvait plus d’être la victime de tant de méchancetés. Alors, pour oublier le mal que lui faisait sa belle-mère; elle chanta de tout son cœur. Ces chants étaient tellement mélancoliques, que personne ne put les écouter sans qu’une larme apparut sur leur visage, même la triste cantatrice pleurait, mais ses pleurs n’abîmaient en rien ses chants; non, au contraire, ces pleurs rendaient les ballades mélancoliques encore plus vraisemblables…
Belle avait grandi, elle était à présent la plus belle femme de France, et elle savait ce qu’elle voulait faire: devenir cantatrice ou couturière. Elle voulait ainsi échapper à sa lourde condition au château paternel, surtout depuis que sa belle-mère avait envoyé son frère dans une école militaire. Chaque jour le même rituel: sa belle-mère sortait le chat à neuf queues et la fouetta jusqu’au sang afin de la rendre laide, afin de la martyriser.
Malheureusement, le contraire était vrai, à chaque coup de fouet, la Isabelle devenait plus belle. Elle avait de plus en plus de pitié de sa belle-mère et c’est cette pitié qui rendait son âme tellement précieuse et son corps si flatteur. La jeune fille pardonna toutes les violences de la vieille femme qui était aveuglé par la jalousie. En effet Cette belle-mère était prétentieuse, orgueilleuse et vaniteuse; elle était jalouse de Belle qui avait autant de beauté intérieure qu’extérieure et qui était par conséquent mille fois plus belle qu’elle.
Elle n’eut jamais pris la peine de dénoncer les actes de sa belle-mère, mais Beau sentait que quelque chose n’allait pas au château, il envoya donc son ami Carlo voir… Mais quelques jours avant son arrivée au château, sa belle mère ne put plus supporter sa présence dans l’enceinte du château, elle qui avait toléré la fille illégitime de son défunt mari jusque là, ne put plus la supporter à cause de la réalité qui brillait à travers ses chants; Elle ne put supporter de voir la laideur de son âme dévoilée à ce point au grand air par des chants. Bientôt la belle dut quitter le château que son père avait légué à son frère jumeau.