Quand l'orage éclate_chapitre 3_épisode 2
Avant de mourir, elle demanda de voir les enfants. Le duc alla les chercher et les amena lui-même les tenant par la main. Belle fut la première à s’arracher des mains de son père pour s’agenouiller à côté du lit de Nessa. Elle lui pria en sanglotant:
-“Nessa, ma chère Nessa, ne meurs pas, ne t’en vas pas de cette terre qui a encore tant de secrets à nous révéler. Pense à nous, Nessa, que va-t-on arriver sans toi?”
Beau venait s’asseoir à côté de sa sœur avec une expression sérieux et triste sur son visage, il continua le discours de sa sœur qui venait se réfugier dans ses bras à la recherche de réconfort.
-“Nessa, ne t’en vas pas, on a besoin de toi.
-Mes chers petits, votre père vous aime plus que qui que se soit, il ne sait juste pas le montrer. Mais, regardez moi mes enfants, Beau, Belle… Écoutez moi attentivement mes deux anges, je vous aime, et je serai toujours près de vous, même lorsque je ne ferai plus parti de ce monde. Beau fait attention à ta sœur, j’ai remarqué que la femme de votre père est jalouse de sa beauté et de sa jeunesse. Belle fais attention à Beau, ne le laisse pas tomber dans le piège d’une femme mauvaise. Mes enfants, faites attention à vous, laissez vous guider par votre cœur, même si cela vous conduit à la mort, l’amour en vaut la peine. Regardez moi une dernière fois avant de partir, je ne veux pas que vous me voyez mourir, cela est trop triste à voir. Partez, partez, et sachez que je vous aime, et que je vous aimerai toujours.”
Puis, après que les enfants aient quittés la chambre, elle s’adressa à son maître, le père de ces enfants qu’elle aimait telle une mère, elle lui supplia
-“Laissez moi mourir en paix en me promettant une chose. Hum, hum”
Elle eut du mal à continuer de parler, son toux devenait trop intense, cependant dans un ultime effort elle arriva de lui dire ce qu’elle avait sur le cœur.
-“Cher maître, laissez ses enfants ensembles, ne les tenez plus à l’écart l’un de l’autre, ils sont né ensembles… ils s’aiment, et tant qu’ils ne sont pas sur de votre amour pour eux, vous devrez les sortir de la solitude qui les ronge dés qu’ils ne sont pas ensembles…
-Je vous le promet Nessa, parce que vous m’ayez élevé dans la tendresse qui m’était refusé par ma mère. Mais aussi que j’ai lu dans les yeux de mon fils cette haine et tristesse profonde qui le rongent…
-Merci, partez maintenant, ne me regardez pas mourir.
-Nessa, vous avez été là quand j’ai ouvert pour la première fois mes yeux, laissez moi être là pour voir lorsque vous les fermerez, ainsi, le cercle sera rond…”
Peu de temps après la déesse maternelle mourut dans les bras de son maître qui ne pouvait pas s’empêcher de rester à ses côtés. Cette femme avait été là quand il eut ouvert pour la première fois ses yeux, et il fut là quand elle fermait à tout jamais les siens…
-“Nessa, ma chère Nessa, ne meurs pas, ne t’en vas pas de cette terre qui a encore tant de secrets à nous révéler. Pense à nous, Nessa, que va-t-on arriver sans toi?”
Beau venait s’asseoir à côté de sa sœur avec une expression sérieux et triste sur son visage, il continua le discours de sa sœur qui venait se réfugier dans ses bras à la recherche de réconfort.
-“Nessa, ne t’en vas pas, on a besoin de toi.
-Mes chers petits, votre père vous aime plus que qui que se soit, il ne sait juste pas le montrer. Mais, regardez moi mes enfants, Beau, Belle… Écoutez moi attentivement mes deux anges, je vous aime, et je serai toujours près de vous, même lorsque je ne ferai plus parti de ce monde. Beau fait attention à ta sœur, j’ai remarqué que la femme de votre père est jalouse de sa beauté et de sa jeunesse. Belle fais attention à Beau, ne le laisse pas tomber dans le piège d’une femme mauvaise. Mes enfants, faites attention à vous, laissez vous guider par votre cœur, même si cela vous conduit à la mort, l’amour en vaut la peine. Regardez moi une dernière fois avant de partir, je ne veux pas que vous me voyez mourir, cela est trop triste à voir. Partez, partez, et sachez que je vous aime, et que je vous aimerai toujours.”
Puis, après que les enfants aient quittés la chambre, elle s’adressa à son maître, le père de ces enfants qu’elle aimait telle une mère, elle lui supplia
-“Laissez moi mourir en paix en me promettant une chose. Hum, hum”
Elle eut du mal à continuer de parler, son toux devenait trop intense, cependant dans un ultime effort elle arriva de lui dire ce qu’elle avait sur le cœur.
-“Cher maître, laissez ses enfants ensembles, ne les tenez plus à l’écart l’un de l’autre, ils sont né ensembles… ils s’aiment, et tant qu’ils ne sont pas sur de votre amour pour eux, vous devrez les sortir de la solitude qui les ronge dés qu’ils ne sont pas ensembles…
-Je vous le promet Nessa, parce que vous m’ayez élevé dans la tendresse qui m’était refusé par ma mère. Mais aussi que j’ai lu dans les yeux de mon fils cette haine et tristesse profonde qui le rongent…
-Merci, partez maintenant, ne me regardez pas mourir.
-Nessa, vous avez été là quand j’ai ouvert pour la première fois mes yeux, laissez moi être là pour voir lorsque vous les fermerez, ainsi, le cercle sera rond…”
Peu de temps après la déesse maternelle mourut dans les bras de son maître qui ne pouvait pas s’empêcher de rester à ses côtés. Cette femme avait été là quand il eut ouvert pour la première fois ses yeux, et il fut là quand elle fermait à tout jamais les siens…